28 juin 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Nelly Wolf, « Conclusion », Presses universitaires du Septentrion, ID : 10.4000/books.septentrion.12862
La lecture du texte romanesque découvre un imaginaire linguistique lui-même indicatif d’un imaginaire social. Cela ne signifie pas que l’écriture soit adaptée à son contenu social, ni que le contenu sécrète son écriture. Pour comprendre le type de relation instauré entre ces deux instances, il faudrait plutôt affirmer, avec Philippe Dufour, qu’il existe « une pensée romanesque du langage », ou plus encore, avec Bruno Blankeman, que « la langue fait fiction ». À ces expressions, il convient ce...