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15 mars 2019
- doi: 10.4000/books.septentrion.34582
- isbn: 9782757413609
- eisbn: 9782757427859
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Mots-clés
Première Guerre mondiale occupation allemande université école rapport avec l’occupant déportation de populations accommodement résistance History HIS000000 HIS037070 HB HBLWSujets proches
Great War, 1914-1918 First World War, 1914-1918 World War One, 1914-1918 World War 1, 1914-1918 WWI (World War, 1914-1918) World War I, 1914-1918 European War, 1914-1918 WW I (World War, 1914-1918) Springtime Affection Friendliness Fatalism Destiny Expulsion Deportation--Law and legislation Requirements, Insurance Relations with friends and associates Associates Companions French Republic Autores de novelas Escritores de novelas Destino 1ª Guerra mundial I Guerra mundial Guerra europea, 1914-1918 Guerra mundial I, 1914-1918 Primera guerra mundial, 1914-1918 Amigos Université Faculté Internement en camp de concentration Convois de déportés Déplacements de population Nord Accommodement Arrangement Relations (personnes) Connaissances (personnes) Copains Collègues Camarades Amis Auteurs de romans Nouvellistes Destinée Fatalité Fatum Sort Fatalisme Grande guerre (1914-1918) Première guerre mondiale 1re guerre mondiale Guerre de 1914-1918 Affection Camaraderie Amis Entente destinée Dardanelles République française Royaume de France Royaume de France (987-1791) Détroit des Dardanelles HellespontCiter ce document
Georges Lyon, « 1915 », Presses universitaires du Septentrion, ID : 10.4000/books.septentrion.34582
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Résumé
L’occupation Le printemps a fui, l’été touche à son terme. Aucune de nos espérances ne s’est encore réalisée. Ni les Dardanelles ne sont conquises ; ni les Italiens n’occupent Trieste ; ni l’offensive générale sur tout le front Ouest n’a réellement débuté, en dépit des assurances que nous donnaient les nouvellistes. Quant à nos amis Russes leur présente destinée fait notre désolation. Il y a quinze jours, Varsovie tombait entre leurs mains ; hier c’était Kouno. Au moment où je trace ces ligne...