23 novembre 2020
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Stéphanie Boulard, « La coupure aux lèvres », Presses universitaires du Septentrion, ID : 10.4000/books.septentrion.68003
Je suis de mon cœur le vampire,– Un de ces grands abandonnesAu rire éternel condamnes,Et qui ne peuvent plus sourire !Charles BAUDELAIRE « Hugo, l’heureux joueur à la renommée, qui faisait martingale depuis vingt ans, vient de perdre la dernière partie. Il s’appelait Victor, et ce nom lui allait bien ! Désormais, on l’appellera Victus. » Voilà ce qu’écrit, dans Le Nain jaune, Barbey d’Aurevilly, au matin du 23 mai 1869, après la sortie de L’Homme qui rit. Sans doute, contre toute attente, L’H...