17 décembre 2020
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Gérard Farasse et al., « 9. De l’inconvénient d’être mou », Presses universitaires du Septentrion, ID : 10.4000/books.septentrion.78913
La belle égarée Philippe Lemaire, 2004 Imaginons un instant, avec Hyvernaud, que le squelette des hommes se liquéfie en raison d’« une curieuse maladie qui s’est attaquée à eux : leurs os s’amincissent, s’amenuisent, se résorbent progressivement et sans qu’ils (?) s’aperçoivent de rien. Finalement leur squelette a entièrement fondu. Mais comme ils sont tous semblables, cela ne les inquiète pas. Leur corps, peu à peu, s’est affaissé. Leurs membres sont des appendices mous. Ils ne peuvent plus...