Flaubert satiriste dans « Par les champs et par les grèves »

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Quel gouffre que la bêtise humaine ! La satire va, vient, court, revient, saute ; c’est une folle, mordante, ironique, agaçante, rieuse, moqueuse, raisonnable sous son air de déraison. Un mot lui suffit, pourvu qu’il soit piquant et qu’il frappe juste ; elle a horreur des longues pages à périodes, à larges argumentations ; elle veut bien être vraie, mais à condition qu’on lui permettra d’être gaie, vive, bouffonne. Les chapitres impairs de Par les champs et par les grèves, c’est-à-dire ceux q...

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