Trois fragments sur René Ghil

Résumé 0

Ernest Raynaud : « Une soirée chez Paul Verlaine » [1920-1922] […] C’était un soir. Verlaine, couché, me lisait à la lueur de la lampe, posée sur la table, près du lit, des passages d’un recueil de vers, reçu depuis peu, et qui l’avait favorablement impressionné : Légendes d’âmes et de sangs, de René Ghil. Or, tandis qu’il m’initiait à la nouveauté de ce livre, précisément, l’auteur, auquel il avait adressé une courtoise invitation, se présenta. René Ghil avait alors vingt-trois ans. Il donna...

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