Représentations et usages du passé en Amérique latine

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5 octobre 2022

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Les commémorations célébrées en 2021 en Amérique latine – des 500 ans de la chute de Mexico et des 200 ans de l’indépendance d’une grande partie du sous-continent – se sont déroulées dans un contexte particulier caractérisé par la contestation et la désarticulation de la mémoire commune. Celui-ci, amplifié par la pandémie de Covid 19, n’est pas nouveau – en 1992, la célébration des 500 ans de la « rencontre des deux mondes » était déjà soumise à de fortes critiques, montrant au passage la confusion entretenue entre commémoration et célébration – mais il acquiert depuis une quinzaine d’années certains caractères inédits. Les articles réunis dans ce dossier en abordent plusieurs aspects – les revendications identitaires, ethniques et de genre, l’instrumentalisation du discours historique à des fins politiques – tout en intégrant une réflexion historiographique qui vise à questionner la place de l’historien dans la cité. Le prisme de l’histoire du temps présent, soit le fait d’historiciser le présent, permet de prendre un recul salutaire vis-à-vis de postures idéologiques et/ou de convenances qui visent à produire une mémoire conçue comme un instrument politique.

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