Violencia sexual a mujeres indígenas durante el conflicto armado interno y el genocidio en Guatemala

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20 janvier 2015

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Yoc Cosajay Aura Marina, « Violencia sexual a mujeres indígenas durante el conflicto armado interno y el genocidio en Guatemala », Caravelle, ID : 10.4000/caravelle.832


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El artículo versa sobre el uso de la violación sexual como arma de guerra en la política contra-insurgente en Guatemala, su vínculo con el racismo y la discriminación manifiesta en este país que vivió 36 años de conflicto armado, registrando el período de mayor represión en los años de 1980 a 1983. La paz se firmó en diciembre de 1996. Una particularidad en este artículo es que aborda la experiencia del colectivo guatemalteco « Actoras de Cambio » que propone integrar la “sanación” como mecanismo reparador con mujeres sobrevivientes de violación en el contexto de la posguerra.

L’article traite de l’utilisation du viol comme arme de guerre dans la politique contre-révolutionnaire au Guatemala, de son lien avec le racisme et la discrimination patente dans ce pays qui a vécu 36 ans de conflit armé, dont la période de plus forte répression correspondait aux années 1980 à 1983. La paix a été signée en décembre 1996. Une des spécificités de cet article est qu’il aborde l’expérience du collectif guatémaltèque “Actoras de Cambio” (actrices du changement) qui propose d’incorporer la “guérison” comme mécanisme réparateur pour des femmes survivantes de viol dans le contexte de l’après-guerre.

This article deals with the practice of rape as a war weapon in the counter-insurgent policy in Guatemala, its relation with racism and obvious discrimination in this country that lived a period of active military operations for 36 years, reaching the fiercest repression level between 1980 and 1983. Peace was signed in December 1996. This paper specifically presents the Guatemalan group “Actoras de Cambio” (Agents of change) who proposes to integrate “healing” as a restorative mechanism for rape survivors in the post-war context.

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