« Rien de ce qui est humain ne m’est étranger »

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7 octobre 2016

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Robalo Cordeiro Cristina, « « Rien de ce qui est humain ne m’est étranger » », Carnets, ID : 10.4000/carnets.1241


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Le contexte mondialisé où nous vivons, avec ses drames humains par millions (réfugiés, émigrés, exilés, déportés), aurait tendance à nous faire oublier, devant l’urgence de l’action et l’obligation de la solidarité, la difficulté théorique de la notion d’étranger. De Térence à Plaute, de Freud à Levinas, du monde latin au monde judaïque, de l’antiquité à notre temps, le statut social, mais plus encore, métaphysique de l’Etranger, ne peut en définitive se définir que dans les termes éthiques d’une extériorité non pas « assimilée » mais respectée dans sa transcendance.

The globalized context where we live, with its millions of tragedies (exiled, deported populations) could easily - such is the need to act - make us overlook the philosophical difficulty of the notion of Foreigner. But it is enough to stop a minute to get aware of the disagreement opposing the moralists of all times in front of this concept. The social but above all metaphysical status of Foreigner, can only be approached in the ethical terms of an exteriority, not assimilated but respected as transcendent.

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