Casi todo era negro: resistencias y puntos de fuga en torno al tráfico ilegal de mineral (Galicia, 1939-1945)

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24 juillet 2017

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Cabana Iglesia Ana, « Casi todo era negro: resistencias y puntos de fuga en torno al tráfico ilegal de mineral (Galicia, 1939-1945) », Cahiers de civilisation espagnole contemporaine (de 1808 au temps présent), ID : 10.4000/ccec.6511


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Cet article a pour but de présenter les lectures susceptibles d’être faites sur des aspects de la vie de tous les jours des populations impliquées dans l’extraction et la vente illégale de wolfram dans les années de la Seconde Guerre Mondial en Galice. À notre avis, la génération vivant la «fièvre du wolfram» perçoit cette période-là et son souvenir comme un point de fuite face à la réalité de l’après-guerre. En ce temps de famine et peur, le wolfram, tout en respectant les lois ou en dehors d’elles, a rempli le rôle d’un débouché qui a rendu plus simple la survie tout en permettant des lueurs d’euphorie collective.

The aim of this article is to glimpse readings that can be made on aspects of everyday life of the populations involved in the extraction and illegal sale of tungsten in the years of the Second World War in Galicia. In our view, for the generation that lived through the «Wolfram fever», that time and his memory is a vanishing point regarding the reality of post-war. In times of hunger and fear, tungsten, inside or outside the law, acted as an escape valve that facilitated survival allowing traces of collective euphoria.

El objetivo de este artículo es vislumbrar las lecturas que puedan hacerse sobre aspectos de la vida cotidiana de las poblaciones implicadas en la extracción y venta ilegal del wolframio en los años de la Segunda Guerra Mundial en Galicia. A nuestro juicio para la generación que vivió la «fiebre del wolframio», aquel momento y su recuerdo suponen un punto de fuga con respecto a la realidad de posguerra. En los tiempos del hambre y del miedo, el wolframio, dentro o fuera de la legalidad, funcionó como una válvula de escape que facilitó la supervivencia permitiendo atisbos de euforia colectiva.

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