Réseaux familiaux et mobilisations politiques. Les « blancs » du Sud-Est de la France (1860-1910)

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22 février 2017

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L’Histoire des « blancs » dans l’historiographie politique de la France contemporaine s’apparente le plus souvent à l’histoire d’une longue agonie au xixe siècle. La perte progressive des mandats politiques nationaux puis locaux au profit des républicains a conduit les partisans de l’Ancien Régime et de la Contre-Révolution à se désengager des processus de l’élection et du vote. Mais la culture politique « blanche » n’a pas pour autant disparu. Elle s’est perpétuée grâce à la vitalité de réseaux familiaux sur plusieurs générations, contribuant à fabriquer des cultes mémoriels et des généalogies familiales, à entretenir des fraternités jésuites et des expériences combattantes et à susciter des engagements syndicaux et partisans.

The history of the “Whites” in contemporary France’s political historiography is often that of a long decline that runs over the course of the nineteenth century. The gradual loss to the Republicans of national and local political mandates drove the partisans of the “Ancien Régime” and counter-revolution to disengage from electoral processes. However, “White” political culture did not altogether disappear. It was perpetuated over generations due to the vitality of family networks, with the creation of memorial cults and genealogies, the survival of Jesuit fraternities and the perpetuation of active involvement in syndicates and political parties.

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