17 novembre 2022
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Pascale Kleinfinger et al., « L’information et le consentement de la femme au dépistage prénatal non invasif », Cahiers Droit, Sciences & Technologies, ID : 10.4000/cdst.6678
Une des clés d’un dépistage réussi résidant dans la bonne information des patientes, les prescripteurs doivent être eux-mêmes formés aux enjeux du test. L’article pointe le rôle du cytogénéticien à cet égard. Il doit présenter les performances du test sous la forme de valeurs prédictives (probabilité que le résultat du test soit juste en ce qui concerne la patiente) ; rappeler que le droit de savoir a comme corollaire celui de ne pas savoir ; soutenir que sauf contre-indications médicales, l’accès au dépistage doit être possible même en dehors des indications de prise en charge par la sécurité sociale (c’est-à-dire à ce jour la trisomie 21), si les autres anomalies decelables sont de mauvais pronostic et que leur dépistage ne génère pas trop de prélèvements invasifs ; en collaboration avec le prescripteur, lorsque le DPNI est positif pour une anomalie rare, prodiguer un conseil génétique.