Fit im Schlaf!

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9 septembre 2021

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Résumé De Fr En

Die umfassende Durchsetzung von Medientechnologien digitaler Selbstüberwachung und -quantifizierung mit dem Ziel der Selbstoptimierung verwickelt Nutzerinnen in zunehmendem Maße in biopolitische Feedbackloops: Gleichermaßen intim und vernetzt, sensorisch und technisch sowie privat und öffentlich docken Verfahren des datafizierten Selbstzugriffs an vorherrschende neoliberale Ideologien des „24/7“ und des Imperativs potentiell unabschließbarer Optimierbarkeit an. Der Beitrag untersucht vor diesem Hintergrund populäre Schlaf-Apps hinsichtlich ihrer algorithmisch-gouvernementalen Wirkweisen als Medien und diskutiert diesen eingeschriebene Politiken der Entgrenzung von Arbeit: Die Arbeit am Selbst mittels Self-Tracking wird mithin als Interface kenntlich, das komplexe Subjektivierungsvorgänge in ein Feld technischer Machbarkeit unter plattformkapitalistischen Voraussetzungen einschreibt und für dieses formatiert.

La mise en œuvre complète des technologies multimédias de l’auto-surveillance et de l’auto-quantification numériques, dans le but de l’optimisation de soi, implique de plus en plus les utilisateurs dans les retours d’information biopolitiques : de manière intime et connectée, sensorielle et technique, privée et publique à la fois, les procédures d’accès automatique de mise en données se combinent aux idéologies néolibérales prédominantes du « 24/7 » et de l’impératif de processus d’optimisation potentiellement infinis. Dans ce contexte, l’article examine les applications de sommeil populaires quant à leur mode d’action algorithmique et intergouvernementale en tant que médias et discute des politiques d’effacement des limites travail/vie privée qui y sont inscrites. Par conséquent, le « travail sur soi » par auto-surveillance peut être identifié en tant qu’interface qui inscrit des processus complexes de subjectivation dans un champ de faisabilité technique et les formate pour ce dernier, et ce dans les conditions d’un capitalisme de plate-forme.

Pervasive implementation of media technologies of digital self-tracking and self-quantification with the aim of self-improvement entangle users to an increasing extent in bio-political feedback loops: At the same time intimate and interconnected, sensory and technical as well as private and public, datafied procedures of access to one’s self link in with predominant neoliberal ideologies of 24/7 and with the imperative of potentially lifelong self-optimization. Against this backdrop, the article discusses popular sleep-tracking-apps regarding their modes of action as algorithmic governmental media and their inherent politics of blurring the boundaries between work and leisure: Working on the ‘Self’ by means of self-tracking thus becomes recognizable as an interface that introduces complex processes of subjectivation into a realm of technical feasibility under platform-capitalist conditions and reformats them according to the conditions’ requirements.

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