La clandestinité

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31 mars 2004

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Esther BENBASSA, « La clandestinité », Cahiers d’études sur la Méditerranée orientale et le monde turco-iranien, ID : 10.4000/cemoti.587


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Résumé 0

Après l'avènement de la République kémaliste, de type exclusiviste, le judaïsme turc se coupa officiellement du cadre organisationnel du mouvement sioniste, ce qui n'empêcha pas le maintien d'un sionisme clandestin. Comment mener des activités d'encadrement, de propagande, d'endoctrinement, d'apprentissage dans un tel contexte? Comment un sionisme effectif aurait-il pu se développer, lorsqu'on sait aussi que les dirigeants sionistes s'intéressaient relativement peu aux Juifs locaux après le démembrement de l'Empire à la suite de la Première Guerre mondiale? Dans la clandestinité, il y avait peu de possibilités de formation pionnière et autres pour préparer l'émigration des locaux. On peut ainsi parler ici d'un sionisme sans idéologie. Les années qui précédèrent le kémalisme ne furent pas suffisantes pour imprégner la population du message idéologique du sionisme. Reste qu'à la fondation de l'État d'Israël environ 30 000 Juifs y émigrent. Comment expliquer cet exode ? L'article tente de répondre à cette question.

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