31 mars 2004
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Nasrin FAGHIH, « Au bord du tableau noir, tout est encore possible ! », Cahiers d’études sur la Méditerranée orientale et le monde turco-iranien, ID : 10.4000/cemoti.629
Au festival de Cannes de cette année, le jury a longuement hésité entre deux films, Dance in The Dark et Le Tableau noir, avant d'attribuer la Palme d'or. Tous deux se ressemblent à plusieurs égards. Les deux réalisateurs, caméras sur l'épaule, ont créé un cinéma de mouvement, nerveux, qui projette sans cesse le spectateur dans une fuite en avant. Mais en choisissant de filmer comme les disciples du « DOGME », Samira se lance dans un pari techniquement trop important et le film qui s'annonce comme une grande épopée humaine, perd très vite son objet. C'est là que les ressemblances avec Dance in the Dark s'estompent.