Les faux, les copies, les restaurations intensives, les erreurs d’attribution dans les arts du métal : un champ d’application de l’archéométrie ?

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21 avril 2009

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Lucien Martinot, « Les faux, les copies, les restaurations intensives, les erreurs d’attribution dans les arts du métal : un champ d’application de l’archéométrie ? », CeROArt, ID : 10.4000/ceroart.1099


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Diverses techniques analytiques contribuent grandement à l’identification de copies et d’anomalies chronologiques difficilement décelables par l’examen visuel d’un objet ancien.  L’analyse de la matière permet de situer une œuvre par rapport à l’acquis technologique de la société qui a pu la produire et ainsi, de fournir des informations précieuses aux historiens de l’art et aux conservateurs de musées.  Nous développons dans cet article trois cas bien spécifiques.

Various analytical techniques markedly contribute to the authentification of metal antiquities when visual judgments no more suffice to detect fakes, forgeries or extensive restorations.  A careful analysis of the property of the materials from which the artefacts were made is often able to demonstrate an anachronism.  In this paper, we evidenced three typical researches capable of supporting historians of art and curators opinions.

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