Juan José Saer: la imagen de lo indecible

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21 février 2022

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Florencia Amorena, « Juan José Saer: la imagen de lo indecible », reCHERches, ID : 10.4000/cher.12361


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Résumé Fr Es

Si nous admettons la prémisse selon laquelle le roman inachevé de Juan José Saer, La grande (2005), est considéré comme un résumé de son projet littéraire, il faudrait nous demander par quel processus on est arrivé à cette étape finale. Nous nous proposons de répondre à cette question en prenant comme axe la notion d’échec : la préoccupation phénoménologique fait de l’échec un problème plus ample, relié au problème de la littérature et sa capacité ou non d’appréhender le réel. Notre étude s’appuiera sur deux hypothèses de travail : est-ce que la notion d’échec peut fonctionner comme fil conducteur qui mène à la réalisation d’un programme esthétique, et est-ce que paradoxalement l’échec ne serait pas la réalisation d’un programme littéraire dans le sens où l’entend Cioran : « Exister s’épuise dans le plaisir de ne pas penser. Etre un objet qui regarde ; un point c’est tout ».

Si aceptamos la premisa de que la novela inacabada de Juan José Saer, La grande (2005), es considerada un epítome de su proyecto literario, cabría preguntarse cómo fue el proceso a partir del cual se llegó hasta esta etapa final. Nos proponemos responder dicha pregunta teniendo por eje la noción de fracaso: la preocupación fenomenológica hace del fracaso algo más amplio vinculado con el problema de la literatura y su capacidad o no de aprehender lo real. Nuestra ponencia se apoyará en dos hipótesis de trabajo, a saber si acaso la noción de fracaso puede funcionar como hilo conductor que lleve a la realización de un programa estético y si, paradójicamente, el fracaso no sería la realización de un programa literario en el sentido en que lo entendía Cioran: « Exister s’épuise dans le plaisir de ne pas penser. Etre un objet qui regarde ; un point c’est tout ».

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