Le marxisme égyptien (1936-52) : nationalisme, anti-impérialisme et réforme sociale

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1 juillet 2011

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Joël Beinin, « Le marxisme égyptien (1936-52) : nationalisme, anti-impérialisme et réforme sociale », Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique, ID : 10.4000/chrhc.532


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La renaissance du marxisme égyptien dans la seconde moitié des années 1930 se fit sur un arrière-plan de défaite, de dispersion organisationnelle et de trouble idéologique après l’échec du premier parti communiste au début des années 1920. La gauche marxiste renaissante à partir du milieu des années 1930 se trouva confrontée à des questions essentielles. En premier lieu, se posa la question du lien entre les luttes pour la justice sociale et le mouvement nationaliste qui, jusqu’au départ du dernier soldat britannique d’égypte en 1956, se focalisa sur la revendication d’une fin complète de l’occupation britannique. La seconde question concerne les relations, au sein du mouvement marxiste, entre les Égyptiens musulmans et coptes d’une part, et les Arméniens, les Grecs, les Italiens et en particulier les juifs d’autre part. Enfin, une troisième dimension est l’histoire du morcellement organisationnel qui, pour une grande part, a émergé des deux autres aspects.

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