The Hungarian Royal Gendarmerie and Political Violence in “Happy Peaceful Times” (1881-1914)

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5 août 2021

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Aliaksandr Piahanau, « The Hungarian Royal Gendarmerie and Political Violence in “Happy Peaceful Times” (1881-1914) », Crime, Histoire & Sociétés, ID : 10.4000/chs.2903


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Résumé En Fr

This article deals with the social-political tensions in late Habsburg Hungary by exploring the coercive conduct of the Hungarian Royal Gendarmerie from its creation in 1881 up to the First World War. Through an analysis of narrative and statistical primary sources, the paper shows how the gendarmerie protected the dualist system from the perceived threats of nationalist and labour movements. It attempts to establish the situations in which the gendarmes resorted to physical aggression, how its dynamic changed over time, and the regions where the levels of force exercised by the gendarmerie were higher. Altogether, it argues that widespread physical violence was a central feature of social-political conflicts in pre-WW1 Hungary, with the gendarmes playing a crucial role.

Cet article traite des tensions socio-politiques dans la Hongrie de la fin des Habsbourg en explorant des pratiques répressives de la gendarmerie royale hongroise de sa création en 1881 jusqu’à la Première Guerre mondiale. Une analyse qualitative et statistique de sources primaires montre comment la gendarmerie a protégé la double monarchie contre les menaces perçues des mouvements nationalistes et ouvriers. Cet article cherche à identifier les situations où les gendarmes ont eu recours aux violences physiques, les régions où les violences étaient les plus fortes et comment elles ont évolué au cours du temps. Il défend que le recours aux violences physiques, notamment sous l’action des gendarmes royaux, est une caractéristique clé des conflits socio-politiques dans la Hongrie de la Belle Époque.

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