Du cinéma, de la lutte et de la représentation chez José Luis Sepúlveda et Carolina Adriazola

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15 avril 2014

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Le propos de Carolina Adriazola et José Luis Sepúlveda est de produire une défamiliarisation esthétique ou une distanciation épique afin d’interroger la représentation d’une altérité. Leur démarche cinématographique réédite de manière radicale l’engagement politique du Nouveau Cinéma latino-américain, tout en critiquant les effets du néolibéralisme économique du Chili de la post-transition. Cet essai parcourt leur production réalisée ensemble à travers les courts-métrages Vasnia (2007) et Aztlán (2008), ainsi que les films El pejesapo (2007) et Mitómana (2010). C’est un cinéma qu’on pourrait qualifier de punk qui ne cherche pas à décrire ce qui est marginal, mais à produire une marginalité.

El propósito de Carolina Adriazola y José Luis Sepúlveda es producir una defamiliarización estética o una distanciación épica con el fin de interrogar la representación de una otredad. Su trabajo cinematográfico reedita en forma radical el compromiso político del Nuevo Cine Latinoamericano, criticando a la par los efectos del neoliberalismo económico del Chili de la postransición. Este ensayo recorre su obra, que realizaron juntos, por los cortometrajes Vasnia (2007) y Aztlán (2008), así como las películas El pejesapo (2007) y Mitómana (2010). Es un cine al que se le podría calificar de punk, que no busca describir lo marginal sino a producir marginalidad.

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