Justice, amitié, bonheur. Derrida et l’éthique kantienne

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4 décembre 2018

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David Espinet, « Justice, amitié, bonheur. Derrida et l’éthique kantienne », Les Cahiers philosophiques de Strasbourg, ID : 10.4000/cps.315


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L’article présent entreprend une analyse des concepts de justice et d’amitié tels que Derrida les développe à partir des années 1980 en passant notamment par la philosophie pratique de Kant, et cherche à répondre à la question restée largement ouverte et pour ainsi dire oblique chez Derrida lui-même : dans quelle mesure le tournant pratique de la déconstruction, particulièrement dans sa tournure kantienne autour des concepts d’amitiés, de loi, d’autonomie et de respect, répond-il aussi à un questionnement implicite concernant les conditions de possibilité d’un bonheur singulier et fini ?

This article analyses the concepts of justice and friendship that Derrida developed from the 1980’s on notably by relying on Kant’s practical philosophy, and it seeks to answer the question left open by Derrida himself in a somewhat oblique way: To what extent does deconstruction’s practical turn, in particular the Kantian development of the concepts of friendship, law, autonomy, and respect, also respond to an implicit question concerning the conditions of possibility of a singular and finite happiness? 

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