From composite building to partial figure:

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30 juin 2019

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Michael Jasper, « From composite building to partial figure: », Les Cahiers de la recherche architecturale, urbaine et paysagère, ID : 10.4000/craup.1713


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Résumé En Fr

This paper undertakes a comparative analysis of Colin Rowe (1920-1999) and Peter Eisenman’s (1932-) studio teaching as a form of theoretical practice. It does this through examination of select studios undertaken under their respective direction at Cornell University and the Yale School of Architecture. Three propositions underpin the paper. First, that a close reading of Rowe’s teaching reveals a specific theoretical temperament at work. Second, the paper postulates that the latent force of Rowe’s teaching is still to be fully exploited. Third, the paper suggests that one possible legacy can be seen in the studio teaching of Eisenman, arguing that Eisenman’s teaching practice and the variations on certain devices and strategies deployed by Rowe can be taken as an instance of the latter’s transformative potential. A series of questions are posed to address these propositions: Which kinds of architectural-urban problems did Rowe emphasize in his studio teaching? What concepts and composition devices were called up? What happens in the transmission and transfer through students, and the singular student of Peter Eisenman in particular? Through an analysis of their university studio teaching, the paper seeks to reveal instances of teaching practices that promote singular theoretical models, different problematics, and various composition strategies and devices which it is claimed are distinguished by their embrace of ambiguity, complexity, and multiplicity.The paper makes a contribution to scholarship on
the ideas and impact of Rowe’s teaching, revealing a generative latency largely ignored in secondary literature to date. It adds to studies of twentieth-century architecture education and opens a line of research around a little studied aspect of Eisenman’s practice.

Cet article propose une analyse comparative de l’enseignement en studio de Colin Rowe (1920-1999) et de Peter Eisenman (1932 -) en tant que forme de pratique théorique. Pour ce faire, il examine certains enseignements de studio menés sous leur direction respective à la Cornell University et à la Yale School of Architecture. Trois axes d’analyse sous-tendent le propos. Premièrement, une lecture attentive de l’enseignement de Rowe révèle une posture théorique caractéristique de son travail. Deuxièmement, nous postulons que la force potentielle de l’enseignement de Rowe doit encore être pleinement exploitée. Troisièmement, l’article suggère qu’un héritage possible apparaît à travers l’enseignement en studio d’Eisenman, affirmant que sa pratique d’enseignement et les variations de certains dispositifs et stratégies déployés par Rowe peuvent être considérées comme un exemple de sa capacité de transformation. Une série de questions sont posées pour répondre à ces propositions: quels types de problématiques architecturales et urbaines Rowe a-t-il mis en évidence dans son enseignement en studio ? Quels concepts et dispositifs de composition ont été ici convoqués ? Que se passe-t-il à travers la transmission et le transfert de ses enseignements à ses étudiants, et en particulier à son élève Peter Eisenman ? À travers une analyse de leurs enseignements en studio universitaire, le document tente de révéler des exemples de pratiques pédagogiques favorisant des modèles théoriques singuliers, différentes problématiques, et diverses stratégies et dispositifs de composition qui se distinguent par leur ambiguïté, leur complexité et leur multiplicité. Le document apporte une contribution à la recherche sur les idées et l’impact de l’enseignement de Rowe, révélant une potentialité féconde largement ignorée dans la littérature secondaire à ce jour. Elle s’ajoute aux études sur l’enseignement de l’architecture du XXe siècle et ouvre une ligne de recherche autour d’un aspect méconnu de la pratique d’Eisenman.

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