La robe et les mortiers. Joseph-Marie de Villespassans, magistrat faux-monnayeur (1713)

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11 mars 2022

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Mathieu Soula, « La robe et les mortiers. Joseph-Marie de Villespassans, magistrat faux-monnayeur (1713) », Criminocorpus, revue hypermédia, ID : 10.4000/criminocorpus.890


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Au début du XVIIIe siècle, un magistrat toulousain, le conseiller de Villepassans, est soupçonné d’être à la tête d’un réseau de faux-monnayeurs. L’affaire est sensible pour le parlement, qui instruit directement l’affaire, car il s’agit de poursuivre l’un de ses membres. Un magistrat faux-monnayeur est en effet une « figure » criminelle qui trouble et pose question. Par contagion, la mauvaise renommée de Villepassans peut atteindre les autres conseillers et porter le discrédit sur une institution qui se définit comme « le vrai vengeur des crimes ». Dans ces conditions, comment le parlement traite-t-il l’affaire, et quelle figure criminelle appose-t-il à Villespassans ? L’étude de ce cas atypique peut ainsi aider à mieux comprendre l’enjeu de la construction d’une identité criminelle.

In early 18th century, a magistrate of the parliament of Toulouse, Joseph-Marie de Villespassans, is suspected of being the leader of forgers of money. This case is highly dangerous for the parliament, who’s in charge. The culpability of the magistrate-forger can also touch the others magistrates, and the prestige of the institution to. So, in these conditions, how can the parliament manage this case? I this research, we’re trying to study this atypical case in the way the parliament built the culpability.

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