31 janvier 2024
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Jérôme Duwa, « Jean-Claude Lebensztejn, Rafistolages (James, Burroughs, Kafka, Proust, Platon, Marivaux, Donne, Autophagie, Palmarès) », Critique d’art, ID : 10.4000/critiquedart.109851
Ce n’est pas la première fois que Jean-Claude Lebensztejn emprunte un titre à Franz Kafka. Dans son Journal daté du 5 juin 1922, l’auteur du Procès signale de « mauvais jours » obsédés par le sexe et enchaîne en indiquant son « talent pour le ‘rafistolage’ (Flickarbeit) » (p. 91). Toute forme d’écriture dont l’expérience n’est pas celle d’une continuité nécessaire et d’une sensation enivrante d’unité entre un corps et un esprit écrivant mais, plutôt, celle d’une discontinuité dans le travail...