5 juin 2018
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Emanuele Quinz, « Pour une archéologie de l’Art cinétique », Critique d’art, ID : 10.4000/critiquedart.29338
« L’archéologie de l’art cinétique reste à écrire », peut-on lire en 1968 dans la revue Robho. Or, la proposition de réviser l’histoire officielle de cette tendance, dont l’épicentre a été fixé à Paris autour de la galerie Denise René avec l’exposition mythique Le Mouvement (avril 1955), a dû attendre plusieurs décennies avant de refaire surface aujourd’hui. Au moment où l’Art cinétique semble profiter d’un regain d’attention, à la fois de la part de la critique et du marché, plusieurs public...