Pour une archéologie de l’Art cinétique

Fiche du document

Date

5 juin 2018

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1246-8258

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2265-9404

Organisation

OpenEdition

Licences

All rights reserved , info:eu-repo/semantics/openAccess



Citer ce document

Emanuele Quinz, « Pour une archéologie de l’Art cinétique », Critique d’art, ID : 10.4000/critiquedart.29338


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

« L’archéologie de l’art cinétique reste à écrire », peut-on lire en 1968 dans la revue Robho. Or, la proposition de réviser l’histoire officielle de cette tendance, dont l’épicentre a été fixé à Paris autour de la galerie Denise René avec l’exposition mythique Le Mouvement (avril 1955), a dû attendre plusieurs décennies avant de refaire surface aujourd’hui. Au moment où l’Art cinétique semble profiter d’un regain d’attention, à la fois de la part de la critique et du marché, plusieurs public...

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en