Urban Densities and socio-residential organisationExample of the urban area of Hamburg (Germany)

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9 octobre 2014

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Anne-Marie Meyer, « Urban Densities and socio-residential organisationExample of the urban area of Hamburg (Germany) », Cybergeo : revue européenne de géographie / European journal of geography, ID : 10.4000/cybergeo.5826


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Résumé En Fr

This research examines the ability of a usual indicator, the density of population, to apprehend the urban structures and processes. The socio-residential organisation of the agglomeration of Hamburg (Germany) was studied using two traditional and a priori irreconcilable methods of analysis: firstly, the factor analysis which allowed the construction of a "socio-spatial aggregation" of the districts of Hamburg, and a diachronic comparison processed according to the method of Y. AHMAVAARA (1954); secondly, a study of the densities through some traditional models. Indeed, their contribution to an improvement of the comprehension of urban ecology is not very important. The approach of B. KORZYBSKI (1976), while going beyond a simple adjustment of the relation between the densities and the distance from the centre of the city, gives an additional viewpoint to the study of the densities by introducing a social dimension. Thanks to a transformation of the physical space, the author proposes to replace the effective spreading of the city, which mingles a social component and the influence of the physical setting, by a spatial arrangement having only a social content. This form of "regularization" authorizes diachronic comparisons like those carried out between cities which could be very different.

Cette recherche examine la capacité d'un indicateur usuel, la densité de population, à appréhender les structures et processus urbains. L'organisation socio-résidentielle de l'agglomération de Hambourg a ainsi été étudiée à l'aide de deux méthodes d'analyse désormais classiques et a priori inconciliables : d'une part, l'analyse factorielle qui nous a conduit à réaliser un essai « d'agrégation socio-spatiale » des quartiers de Hambourg, puis une comparaison diachronique menée selon la méthode de Y. AHMAVAARA (1954), d'autre part, une étude des densités à travers quelques modèles classiques. L'apport de ces derniers à une amélioration de la compréhension de l'écologie urbaine est en effet réduit. L'approche de B. KORZYBSKI (1976), en allant au-delà d'un simple ajustement de la relation entre les densités et la distance au centre de la ville, donne une signification supplémentaire à l'étude des densités en introduisant une dimension sociale. Grâce à une transformation de la base physique, l'auteur propose de remplacer l'étalement réel de la ville, qui associe une composante sociale et une influence du site, par un arrangement spatial possédant un contenu strictement social. Par cette forme de « régularisation » cette démarche autorise les comparaisons diachroniques ainsi que celles menées entre villes pourtant très différentes.

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