15 janvier 2016
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François Albera, « Oblivion de Stephen Dwoskin : la défonce de l’infini », Décadrages, ID : 10.4000/decadrages.435
L’idée érotique est le pire miroir. Ce qu’on y surprend de soi-même est à frémir. Dwoskin a « adapté » Ma Mère de Georges Bataille — « mixée » avec le Docteur Faustroll d’Alfred Jarry — dans Further and Particular ; voici qu’avec Oblivion (2005), il adapterait Le Con d’Irène d’Aragon. Peut-être. Relevons plutôt que dans ce film, le dernier qu’il a réalisé à ce jour, une femme assez austère tient dans ses mains une édition à jaquette noire de ce livre : qu’elle le lit. Comme Brigitte Bardot da...