15 janvier 2016
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François Bovier, « Tod und Teufel de Stephen Dwoskin : le receleur et la « monnaie vivante » », Décadrages, ID : 10.4000/decadrages.437
Les films de Stephen Dwoskin mobilisent systématiquement une dynamique intersubjective de regards, impliquant une réversibilité entre les places d’agent et de patient de la vision : le regard frontal, désemparé, de l’actrice mise à nu par l’objectif de la caméra reflète, comme par un effet de miroir déformant, l’immobilité du cinéaste due à son handicap. La spécificité de ce dispositif optique, où l’objet cadré exerce une préhension sur le sujet du regard, n’a pas manqué d’infléchir les réfle...