9 septembre 2021
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Yaşar Tolga Cora et al., « Avant-propos », Études arméniennes contemporaines, ID : 10.4000/eac.2375
Dans La retraite sans fanfare de l’écrivain Chahan Chahnour, Bedros, un Arménien d’Istanbul exilé à Paris au début des années 1920, tente d’expliquer à sa maîtresse, une Française nommée Nénette, à quoi ressemble le pays d’où il vient. Recourant aux mots turcs missir bouyda (« maïs grillé ») pour s’adresser affectueusement à elle, il explique : « Tu es ma Nénette ardente, gaie, tu es la chaleur de mon cœur… oui tu es charmante, tu es bien rissolée, tu es du Missir bouyday ; non, je ne traduis...