Jean Rhys’s Smile Please: Re/De constructing identity through autobiography and photography

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4 juin 2018

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Floriane Reviron-Piégay, « Jean Rhys’s Smile Please: Re/De constructing identity through autobiography and photography », Études britanniques contemporaines, ID : 10.4000/ebc.4364


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Souriez s’il vous plaît est une autobiographie atypique à bien des égards : inachevée, en partie dictée, elle est constituée de textes divers et variés, reliés entre eux par un album photographique censé faire transition entre le texte le plus achevé et les derniers fragments. Le but de cet article est de réfléchir à l’aspect autobiographique du texte et de le lier à la fois aux photographies choisies par les éditeurs pour illustrer le texte et aux photographies présentes par le biais de l’ekphrasis dans le texte de Rhys. Le va-et-vient entre texte et image permet de percevoir la personnalité de Rhys, bien mieux qu’une lecture plus statique des deux artefacts pris séparément. Les omissions de l’un comme de l’autre ainsi que les écarts entre le discours de l’un comme de l’autre permettent aussi d’entrevoir la perception rhysienne de la représentation photographique et autobiographique.

Smile Please is puzzling in many regards: because it was unfinished, partly dictated and because it presents an odd assemblage of fragments barely revised and of a photo album which stands as a kind of hinge between the revised part and the unfinished fragments. The purpose of this article is to consider the generic indeterminacy of the text and to ponder over the function of photographs in autobiography as we try to make sense of the link (or absence of link) between text and image. We shall see whether the lack of construction is not perhaps the best means to fully grasp the genius of and the identity of the nascent writer. This autobiographical triptych therefore seems to flaunt its lack of construction the better to hint at the constructedness of any identity and of Rhys’s in particular: the photographs mentioned in her texts as ekphrasis, or contained in the album help us reach an understanding of Rhys’ own stance about autobiographical and photographic representation.

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