Hauntings in James Ivory’s Howards End

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21 avril 2020

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Jean-François Baillon, « Hauntings in James Ivory’s Howards End », Études britanniques contemporaines, ID : 10.4000/ebc.9091


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Malgré les apparences de modernité auxquelles peut prétendre l’adaptation du roman de E. M. Forster par James Ivory en raison de son style et de son sujet, il est possible de l’envisager d’un point de vue déconstructionniste qui prête attention à la présence de thèmes et de figures de la spectralité. D’abord considérée comme une opposition entre des personnages qui incarnent des attitudes existentielles contrastées, la spectralité gouverne également—surtout—leur mode de présence et de présentation à l’écran. En fin de compte, cela révèle la manière subtile qui est celle d’Ivory d’indiquer la nature fugace de sa propre création en tant que simple projection.

Despite its apparent claims to modernity in style and subject, James Ivory’s Howards End can be viewed in terms of a deconstructionist approach that pays attention to the presence of themes and figures of spectrality. First seen as an opposition between characters who embody contrasting existential attitudes, spectrality also—above all—governs their mode of presence and presentation on screen. Ultimately, this reveals Ivory’s subtle way to intimate the elusive nature of his own creation as mere projection.

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