19 octobre 2020
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Peter J. Conradi, « Iris Murdoch’s ‘Negative Capability’ and the Question of Influence », Études britanniques contemporaines, ID : 10.4000/ebc.9613
Cet article est un essai spéculatif produit par quelqu’un qui est à la fois critique littéraire, historien et biographe de Murdoch, et ne suit donc pas toujours un paradigme académique conventionnel. L’exposé porte sur les grandes questions d’influence en rapport avec la fiction d’Iris Murdoch et est organisé en trois parties. Dans la première, j’explore l’idée qu’Iris Murdoch était protéiforme, à la fois dans son moi intérieur et dans ses premiers romans. La partie centrale esquisse l’influence de trois précurseurs très différents : Raymond Queneau, Walter Scott et Elias Canetti. Enfin, je passe à la question de l’importance de Murdoch pour les autres romanciers. Dans l’espace disponible, on ne peut esquisser que des questions que — espérons-le — d’autres souhaiteront approfondir.