Formes de piété individuelles et collectives dans le royaume du Bosphore cimmérien. L’exemple des inscriptions votives

Fiche du document

Date

24 octobre 2019

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/0014-2026

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2296-5084

Organisation

OpenEdition

Licences

All rights reserved , info:eu-repo/semantics/openAccess



Citer ce document

Ivonne Ohlerich, « Formes de piété individuelles et collectives dans le royaume du Bosphore cimmérien. L’exemple des inscriptions votives », Études de lettres, ID : 10.4000/edl.1727


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

La piété est un acte religieux et fonde la cohésion sociale. Aussi une marque de piété publique peut-elle s’expliquer par beaucoup de raisons, qu’il s’agisse de montrer son appartenance à un groupe social ou de présenter une image de soi. La tradition grecque antique connaissait de nombreux moyens d’exprimer sa piété. La plus individuelle est sans doute l’inscription votive, exposée dans l’espace public. Dans le futur royaume du Bosphore Cimmérien, habité par des colons grecs au VIe s. av. J.-C., des inscriptions votives étaient exposées depuis le IVe siècle. On les considère en général comme un témoignage de la floraison économique du royaume. Mais est-ce seulement faute de moyens financiers que les colons n’ont pas introduit plus tôt la tradition grecque ? Un examen des inscriptions votives et de l’évolution de la religion et des sanctuaires dans le royaume du Bosphore prouve que l’on choisissait très consciemment les moyens d’exprimer sa foi et de se présenter soi-même, conférant ainsi à cette culture un caractère tout à fait particulier.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en