18 mai 2020
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Joël Zufferey, « Une fable postmoderne aux sentiers qui bifurquent: Le Nom de la rose d’Umberto Eco », Études de lettres, ID : 10.4000/edl.2419
En 1962, à une époque où les sciences humaines traversent leur moment structural, Umberto Eco souligne qu’une structure ne postule pas de clôture, ce qu’il montre dans une œuvre de James Joyce qui «organise esthétiquement un appareil référentiel qui est déjà, par lui-même, ouvert et ambigu». L’ouverture ne réside pas uniquement dans la pluralité des interprétations possibles, mais également dans les composantes sémiologiques qui constituent l’œuvre. Quelque trente ans plus tard, en 1990, alor...