Translating Philosophy, Translating Poetry: Comparisons and Contrasts

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13 octobre 2022

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Duncan Large, « Translating Philosophy, Translating Poetry: Comparisons and Contrasts », Études de lettres, ID : 10.4000/edl.3898


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Résumé En Fr

Conceptual and poetic language are often assumed to be markedly different in nature, if not radically opposed to one another. A deconstructive approach brings the two together by emphasising the fundamental metaphoricity of all language; this article aims to develop such an approach and bridge the gap between these two kinds of language by focussing on questions of translation and translatability. It takes as its point of departure the observation that similar historical claims have been advanced for the translation of both poetry and philosophy: it is routinely claimed of both that they are particularly “untranslatable”, and that both require a special kind of expertise on the part of the translator. This article focuses on philosophy and poetry as particular kinds of specialised language use, and suggests that a focus on their translation helps us to illuminate their specificities and commonalities.

On a tendance à croire que le langage conceptuel et le langage poétique sont de nature très différente, sinon totalement opposés l’un à l’autre. Une approche déconstructionniste permet de rapprocher ces deux types de discours en mettant en évidence la métaphoricité fondamentale de tout langage ; cet article développe une telle approche afin de mettre en relation discours philosophique et discours poétique à partir de la question de la traduction et de la traductibilité. Il part du constat que, au cours de l’histoire, de semblables conclusions ont été tirées concernant la traduction de la poésie comme de la philosophie: il est couramment affirmé que l’une et l’autre sont «intraduisibles», et qu’elles nécessitent une expertise particulière de la part du traducteur. Cet article se focalise sur la philosophie et la poésie en tant que types particuliers d’utilisation de langue spécialisée, et il postule que la question de leur traduction nous aide à mettre en lumière tout à la fois leur spécificité et leurs points de convergence.

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