1 décembre 2015
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Raúl Puente Asuero et al., « Villes vivrières », Revue d’ethnoécologie, ID : 10.4000/ethnoecologie.2282
avec la collaboration de Sandrine Baudry, Dominique Fournier et Julie Scapino Ce dossier est issu de deux années d’échanges et de réflexions (2014-2015) menées par un groupe de chercheurs et d’enseignants chercheurs, réunis autour de la notion de villes vivrières, au Muséum national d’Histoire naturelle. Une journée d’étude a été organisée sur ce thème en 2014 intitulée « La terre, l’eau et l’air, contraintes et atouts pour les villes vivrières » ainsi qu'une Unité d'Enseignements au sein du Master « Environnement : développement, territoire et société » (MNHN, APT, UP4). Nous avons choisi quelques-unes des interventions données dans ces cadres dans le but d’offrir à un public élargi des éléments de connaissances et de contribuer à l’analyse critique de ce qu’il est convenu d’appeler « l’agriculture urbaine ». Ce terme connaît une très grande fortune médiatique à travers le monde et marque aujourd’hui fortement le paysage académique. En témoignent la multiplication des numéros spéciaux et des dossiers thématiques publiés dans des revues scientifiques ou grand public, les nombreux reportages télévisés qui lui ont été consacrés ces dernières années et les multiples empreintes sur le web de ce qui est devenu un phénomène de société.