Bilan de quarante ans de recherches ethnobotaniques en Nouvelle-Guinée, dans la vallée du fleuve Sepik

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7 septembre 2022

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Christian Coiffier, « Bilan de quarante ans de recherches ethnobotaniques en Nouvelle-Guinée, dans la vallée du fleuve Sepik », Revue d’ethnoécologie, ID : 10.4000/ethnoecologie.8973


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Mes recherches sur l’architecture « traditionnelle » des villages du fleuve Sepik en Papouasie Nouvelle-Guinée, m’ont conduit à m’intéresser aux matériaux végétaux utilisés pour les constructions d’édifices. Cet intérêt m’a permis de comprendre qu’il existait, et qu’il existe toujours, dans cette région des relations d’interdépendances étroites entre les villageois et les végétaux qui les entourent. Je retracerai sommairement mon parcours et les encouragements que j’ai reçus, principalement de la part d’André-Georges Haudricourt, Jacques Barrau, Georges Condominas et Serge Bahuchet. Après avoir œuvré durant une dizaine d’années à la conservation d’objets ethnographiques, je fais l’amer constat de l’insuffisante reconnaissance de l’importance de l’ethnobotanique pour une meilleure appréhension de ces objets, au sein de certaines grandes institutions muséales.

My research on the « traditional » architecture of the Sepik River villages in Papua New Guinea have led me to take an interest in the plant materials used for constructions. This interest allowed me to understand that there existed, and still exists, in this region closely interdependent relationships between the villagers and the plants that surround them. I will briefly retrace my career and the encouragement I received, mainly from André-Georges Haudricourt, Jacques Barrau, Georges Condominas, and Serge Bahuchet. After spending a decade working on the conservation of ethnographic objects, I am bitterly aware of the insufficient recognition of the importance of ethnobotany for a better understanding of these objects, within some major museum institutions.

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