Dirt, Disease and the Body in Seán Ó Ríordáin’s Eireaball Spideoige

Fiche du document

Date

28 mars 2024

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2259-8863

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/0183-973X

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/openAccess , https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/




Citer ce document

Máirtín Coilféir, « Dirt, Disease and the Body in Seán Ó Ríordáin’s Eireaball Spideoige », Études irlandaises, ID : 10.4000/etudesirlandaises.18103


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

Long recognised as a significant voice in modern Irish literature, Seán Ó Ríordáin’s (1916-1977) understanding of poetics is famously complex. Beginning with his early explication of the creative process in the foreword to his first collection, Eireaball Spideoige (1952), over the following decades Ó Ríordáin continued to develop a distinct metaphorical vocabulary for describing composition, drawing on the language of religious worship, philosophy and anthropology. An important but understudied part of this vocabulary concerns the basic dyad of dirty / clean and what are, for Ó Ríordáin, related concepts: diseased / healthy, polluted / pure, secular / sacred. I argue that negotiations of these ideas, often brought to bear on the figure of the human body, are central to the poet’s understanding of his own craft.

Reconnu depuis longtemps comme une voix importante de la littérature irlandaise moderne, Seán Ó Ríordáin (1916-1977) est célèbre pour la complexité de son approche de la poésie. Après avoir expliqué le processus créatif dans la préface de son premier recueil, Eireaball Spideoige (1952), Ó Ríordáin a continué pendant les décennies suivantes à développer un vocabulaire métaphorique distinct visant à décrire la composition, s’appuyant sur le langage du culte religieux, de la philosophie et de l’anthropologie. Un aspect important mais sous-étudié de ce vocabulaire est constitué de la dyade de base entre le sale et le propre, ainsi que des notions qui lui sont liées selon Ó Ríordáin : malade / sain, pollué / pur, séculier / sacré. On peut penser que la négociation de ces idées, souvent appliquées au corps humain, est essentielle à la compréhension que le poète a de son propre art.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en