Le pouvoir féerique

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5 février 2007

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Féeries

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Éric Méchoulan, « Le pouvoir féerique », Féeries, ID : 10.4000/feeries.138


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Dans les rapports entre conte et politique, le plus évident est celui de la représentation. Les contes, régulièrement, mettent en scène rois, princesses, pouvoirs hérités, provinces conquises ou souverainetés méritées. Sans du tout contester cette importante présence, au contraire, je voudrais esquisser l’ancrage socio-politique à partir duquel la « vogue » des contes de fée (comme on en parle souvent) a pu opérer et voir si l’on ne pourrait pas penser le rapport entre conte et politique sous un angle presque inverse : ce ne sont pas tant les contes qui représentent des enjeux politiques, ce sont les pouvoirs en place qui prennent l’allure de contes de fées. Je prendrai ensuite pour exemple deux cas de figure chez Jean de Préchac et François-Augustin Paradis de Moncrif.

Fairy Power : The relationship between fairytales and politics is usually seen as a matter of representation with beautiful queens, powerful princes, problematic legacies and conquered kingdoms. Fairytales certainly deal with such representations, but it is also possible to draw a reverse perspective and look at the socio-political background of the vogue of fairytales: it is then the sovereign power that looks like a fairytale. Following a general reflection on these issues, I will analyse two case studies: Jean de Préchac and François-Augustin Paradis de Moncrif.

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