„[E]ine letzte große Auktion“ – Ökologisches Bewusstsein bei Otto F. Walter

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21 février 2022

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Stephan Feldhaus, « „[E]ine letzte große Auktion“ – Ökologisches Bewusstsein bei Otto F. Walter », Germanica, ID : 10.4000/germanica.14773


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Résumé De Fr En

Ende der 1970er Jahre beginnen ökologische Fragen bei Otto F. Walter, angesichts der linken Protestbewegungen der Zeit an Relevanz zu gewinnen. In seinen Texten integriert Walter einige der damaligen Diskurse, wodurch er den Umgang mit der Natur von einem Symptom zu einer Bedingung von Herrschaft aufwertet. Im metahistoriographischen Montageroman Zeit des Fasans (1988) verdichtet sich diese Aufwertung, obwohl der Roman am Beispiel einer Industriellenfamilie vorrangig die Geschichte der Schweiz von den 1930er bis in die 1950er behandelt. Doch verschiedene, teils unzuverlässige Reflektorfiguren und montierte Textarten vom Mythos bis zur historischen Abhandlung fokussieren auf drei Zeitebenen zudem die zunehmende Ausbeutung der Natur seit dem 19. Jahrhundert. Einer über die Naturzerstörung Bilanz ziehenden, kritischen Gegenwart der frühen 1980er Jahre stehen zwei vermittelte Vergangenheitsebenen gegenüber: eine (vor)industrielle Vergangenheit des 19. Jahrhunderts und eine ungebrochen technikgläubige Vergangenheit der ersten Hälfte des 20. Jahrhunderts. Ökofeministische Lektüren bieten sich dabei an, da die Ausbeutung der Natur mit Thesen Klaus Theweleits, Carolyn Merchants sowie Matriarchatsmythen evoziert wird.

Face aux mouvements de protestation de gauche, les questions écologiques gagnent en importance dans les œuvres de Otto F. Walter à la fin des années soixante-dix. En intégrant quelques-uns des discours contemporains dans ses textes, Walter réévalue l’attitude des hommes face à l’environnement et la perçoit non seulement comme symptôme, mais aussi comme condition du pouvoir capitaliste. Cette réévaluation s’exprime avec la plus grande fermeté dans la métafiction historiographique Zeit des Fasans (1988). Ce roman s’occupe en priorité de l’histoire de la Suisse entre les années trente et cinquante en faisant le portrait d’une dynastie industrielle. Tout de même, plusieurs personnages du roman, parfois non fiables, et les différents types de montages de textes, du mythe à l’étude historique, relèvent l’exploitation croissante de la nature à partir du dix-neuvième siècle. Cela génère trois couches de temps : le présent critique au début des années quatre-vingts qui résume la destruction de l’environnement est contrasté avec deux couches de passé médiatisées : un passé (pre)industriel du dix-neuvième siècle et un passé de la première moitié du vingtième siècle avec une foi intacte en la technique. Dans ce contexte, une lecture écoféministe semble être appropriée, l’exploitation de la nature étant perçue au travers des théories de Klaus Theweleit, Carolyn Merchant et des mythes du matriarcat.

In view of the left-wing protest movements, ecological issues gain increasing importance in Otto F. Walter’s works in the late 1970s. By integrating some of the contemporary discourses in his texts, Walter ends up revaluing humanity’s attitude to nature, seeing it not just as a symptom but as a condition of capitalist power. This revaluation finds its firmest expression in Otto F. Walter’s historiographic metafiction Zeit des Fasans (1988) although the novel primarily treats Swiss history between the 1930s and the 1950s by the example of an industrialist family. However, different partly unreliable characters and text types from the myth up to the historical treatise also put the increasing exploitation of nature since the nineteenth century into focus, creating three layers of time. A critical present of the early 1980s, which sums up the destruction of nature, is accompanied by two mediated layers in the past: the (pre)industrial past of the nineteenth century and a past situated in the first half of the twentieth century with unbowed believe in technology. In this context, ecofeminist readings seem to be appropriate since the exploitation of nature is evoked by theories of Klaus Theweleit, Carolyn Merchant and myths of matriarchy.

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