7 mai 2014
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Bernard Smette, « Analyses croisées du monde du travail », Cahiers du GRM, ID : 10.4000/grm.410
L’article prend comme point de départ les grèves qui ont eu lieu à l’usine Rhodiacéta de Besançon en 1967 et les documentaires qui en furent tirés par les Groupes Medvedkine. À cet égard, deux films nous serviront : À bientôt, j’espère et Classe de lutte. Partant de ces deux films et de la différence de temporalité et de ton entre ceux-ci, nous nous proposerons, dans un premier temps, d’en faire une analyse croisée à partir de quelques textes de Simone Weil et de Hannah Arendt, pour ensuite, dans un second temps, faire une analyse de la « temporalité vide » qui en ressort.