30 janvier 2024
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Rodríguez Lazaro Nuria, « L’empreinte de l’exil dans la poésie de la génération de 27 », HispanismeS, ID : 10.4000/hispanismes.6845
Cet article porte essentiellement sur les changements que l’expérience de l’exil a provoqués dans l’œuvre des poètes dits de 1927 : Rafael Alberti, Luis Cernuda, Pedro Salinas, Jorge Guillén… De nombreux critiques ont affirmé à maintes reprises qu’une fois le groupe dispersé les caractéristiques communes disparaissent et, n’existant plus comme membres d’une même « génération », ils ne deviennent qu’une poignée d’individualités. Ce texte voudrait montrer que, bien au contraire, même après la guerre civile et la séparation physique de ce groupe de poètes, leurs inquiétudes éthiques et même esthétiques restent, sur bien des aspects, comparables.