22 avril 2021
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Meriem Berrada et al., « Il n’y a pas que la géométrie euclidienne qui raconte le monde », Hommes & migrations, ID : 10.4000/hommesmigrations.12174
Isabelle Renard : Après une formation à Lubumbashi, vous décidez de prolonger vos études à Strasbourg, puis de consacrer votre travail doctoral à Anvers. Pourquoi ce choix de vous construire entre trois pays ? Sammy Baloji : Dès les années 1990, j’ai fait partie d’un collectif d’artistes bédéistes à Lubumbashi. Je dessinais et j’avais envie de faire des études d’art. Mais cela n’était pas possible car l’Académie des Beaux-arts se trouvait à 6 000 kilomètres, à Kinshasa, et financièrement, mes...