29 mai 2013
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Mustapha Harzoune, « Stephen Wright, La Polka des bâtards », Hommes & migrations, ID : 10.4000/hommesmigrations.1224
Liberty Fish ! Voilà qui s’appelle choisir le nom de son personnage. Libre et insaisissable à l’image de ces poissons qui filent et qu’on ne peut retenir. La Polka des bâtards raconte dans une langue protéiforme et majestueuse, inventive et truculente, les USA. Un pays et un peuple aussi insaisissables que n’importe quelle autre nation. Un pays et un peuple irréductibles à une formule et dont le devenir se nourrit des bâtardises et des contradictions des temps présents. Ici Stephen Wright re...