Editorial

Résumé 0

Je n’ai jamais connu Jacques Dars. Je l’ai aperçu à la télévision, mais  n’ai pas eu l’occasion de le rencontrer. En revanche j’ai dévoré sa traduction du Shuihu zhuan  Au Bord de l’eau qui m’a fait comprendre à quel point le traducteur pouvait jouer un rôle primordial pour faire passer un grand classique tel que celui-ci dans une langue parfaitement claire et d’une richesse inégalable. D’aucuns ont avancé que le Shuihu zhuan était un chef d’œuvre encore meilleur en français qu’en chinois. Je...

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