La construction sociale des localités par des acteurs locaux : conceptualisation et bases théoriques des outils de développement socio-économique

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1 mai 2003

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Soumaya Frej et al., « La construction sociale des localités par des acteurs locaux : conceptualisation et bases théoriques des outils de développement socio-économique », Interventions économiques, ID : 10.4000/interventionseconomiques.966


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Cet article fait d’abord un bref retour sur une conceptualisation de la dynamique des localités, présentées dans des travaux antérieurs, qui repose sur sept composantes, à savoir : les acteurs, leurs intérêts et leurs valeurs (culture), les actions des acteurs, les réseaux au sein desquels les acteurs fonctionnent, l’organisation formelle et informelle qui sont le reflet de ces réseaux, les grandes orientations reflétant les ensembles d’actions et de décisions poursuivis par les acteurs, et les contextes politique, administratif, légal, économique et culturel. En même temps, notre lecture des processus de développement nous amène à suggérer un certain nombre de réalités communes à tout processus de développement. Il en découle de la conceptualisation et de ces réalités quelques outils fondamentaux pour les acteurs locaux poursuivant des actions pour le bien-être de la communauté et qui sont ici exposés. L’objet premier est donc d’explorer les liens entre les réalités des processus de développement socioéconomique, la conceptualisation de la dynamique des localités exposée et les outils de développement. Plusieurs exemples seront brièvement présentés. Ils ont d’abord permis de constater que les contextes et les ressources jouent un rôle non négligeable dans un processus de développement mais que les communautés et les acteurs locaux en sont les éléments clés. Nous en sommes aussi venus à la conclusion que les dichotomies géographiques traditionnelles – p. ex. espace rural périphérique et périurbain, PD et PVD – constituent des catégorisations simplistes qui n’arrivent pas à expliquer plusieurs variations à l’échelle locale. En ce sens, la variable culturelle apporte davantage de réponses. Elle constitue ainsi un élément complexifiant (mais essentiel) pour comprendre et entreprendre les processus de développement.

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