Oubliées ou disparues : Matérialiser absences et mémoires

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6 août 2020

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Julie Graff, « Oubliées ou disparues : Matérialiser absences et mémoires », ICOFOM Study Series, ID : 10.4000/iss.2101


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L’exposition Öndia’tahterendih, oubliées ou disparues : Akonessen, Zitya, Marie et les autres, créée par la Boite Rouge Vif, une OBNL autochtone du Québec, et la commissaire wendate Sylvie Paré, présente 10 artistes rendant hommage aux femmes et aux filles autochtones touchées par le féminicide autochtone, tout en cherchant à mobiliser le public. Je souhaite dans le cadre de cet article explorer les stratégies mises en place au sein de l’exposition, telle qu’elle a été présentée au musée de la Civilisation du Québec en 2018. Je conclurai en explorant l’inscription de l’exposition dans le développement d’un commissariat engagé autochtone au Canada.

Öndia'tahterendih, forgotten or missing: Akonessen, Zitya, Marie and the others is an exhibition curated by the Boite Rouge Vif, an NPO from Quebec and wendat curator Sylvie Paré. The exhibition presents 10 artists honouring murdered and mission Indigenous women and girls, while seeking to emotionally engage the public with the issue of Indigenous feminicide in Canada. In this article, I would like to explore some of the curatorial strategies in this exhibition presented at musée de la Civilisation du Québec, in 2018, as part of an ongoing project engaging Indigenous curators in Canada.

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