La proximité entre l’homme et l’abeille : un point de vue poétique (Maurice Maeterlinck)

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4 avril 2014

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Laetitia Mouze, « La proximité entre l’homme et l’abeille : un point de vue poétique (Maurice Maeterlinck) », Labyrinthe, ID : 10.4000/labyrinthe.4301


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On peut tracer un parallèle entre Platon et Maeterlinck sur le point suivant : dans le Théétète, Platon fait de l’étonnement la mère de la philosophie. Le terme grec, thauma, signifie plus exactement « la merveille », « le prodige ». Cela peut être mis en rapport avec la récurrence, dans La vie des abeilles de Maeterlinck, du terme d’ « admiration ». Dans l’ouvrage, sans cesse, Maeterlinck dit que les abeilles sont admirables, qu’elles suscitent de l’admiration : du point de vue de l’étymolog...

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