13 mai 2012
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Francesco Paolo De Sanctis, « L’étranger, la Cité. », Le Portique, ID : 10.4000/leportique.2579
La présente contribution se concentre sur le passage d’un moment utopique à un autre dystopique dans le roman de Michel Henry L’Amour les yeux fermés à partir du modèle d’intégration de son protagoniste, un étranger, à l’intérieur de cette communauté idéale vouée à la destruction. À travers les vertus et les faiblesses du roman (à la fois philosophiques et stylistiques), le propos aboutira à considérer un imaginaire clandestin comme potentialité non dichotomique de l’expérience de la communauté.