De la liberté d’aimer, sans être jugé, les films de son choix

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27 mai 2019

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Le Portique

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Résumé En Fr

On feeling free to love any movie without being judged Are we really free to flaunt our movie taste in all the components of the public space? In order to answer this question, one must choose her side into two well-known dichotomies: first, “There is something like a pantheon of cinematic masterpieces” vs. “All films are equals”; then, “Our taste reflects our social place” vs. “Our tastes only rely to relatability”. Only these dichotomies are epistemologically flawed… The purpose of this paper is to find a third way, which can be summarized by two statements: “All films can be worth something” and “Tastes rely on entire life, not only social place”.

Sommes-nous vraiment libres d’afficher nos goûts cinématographiques à tous les endroits de l’espace public ? Pour répondre à cette question, sans doute faut-il d’abord affronter les deux dichotomies suivantes : « Il existe un Panthéon vs. Tout se vaut » ; « Les goûts reflètent le milieu vs. Les goûts relèvent de l’ipséité ». Cependant, leur simplicité masque mal les biais épistémologiques qu’elles recèlent. Le but de l’article est de sortir de l’impasse en trouvant une troisième voie, qui peut se résumer à deux assertions : « Tout film est susceptible de valoir » et « Les goûts reflètent la vie entière, pas seulement la position sociale ».

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